CONVERGENCE NATIONALE DES COLLECTIFS
DE DEFENSE ET DE DEVELOPPEMENT
DES SERVICES PUBLICS

Les privatisations, les augmentations de tarifs, les fermetures de classes, d’écoles, d’hôpitaux, de bureaux de Poste, de lignes SNCF, les manques dans certains services publics, les déremboursements de médicaments, ne sont pas une fatalité.

2 ans après Guéret, de toute la France syndicats, associations, partis, appellent à participer aux :

ETATS GENERAUX DU SERVICE PUBLIC
Pour défendre et développer les services publics,
Pour des services publics de qualité

Samedi 10 MARS 2007
à partir de 9H30
Salle Olympe de Gouges,
11 Rue Merlin, Paris XI
Métro Père Lachaise ou Philippe Auguste
(Attention : station Voltaire fermée !)

Les services publics sont au coeur de notre modèle social : ils assurent les besoins essentiels pour tous (santé, transport, eau, gaz, électricité, éducation, Poste, crèche, logement, …), l’égalité sur tout le territoire, des tarifs minimas. Ils permettent une politique de recherche et d’industrialisation à long terme, maintiennent des emplois non délocalisables.

Depuis plus de 20 ans nos gouvernements ont mis en oeuvre et initié la politique du FMI, de l’OMC, de Bruxelles, la concurrence « libre et non faussée » dictée par le traité de Maastricht et les directives européennes. L’objectif est de tout privatiser pour le plus grand

profit des multinationales. Usagers, salariés du privé comme du public, nous sommes tous concernés :

"-" Usagers nous sommes tous victimes des suppressions d’écoles, d’enseignants, d’hôpitaux, de bureaux de Poste, du manque d’infirmières, …

Nous refusons la privatisation de GDF, la fin du monopole de la Poste sur le courrier de moins de 50 G, l’autonomie des universités, la libéralisation du rail… qui se traduiraient par des augmentations massives de tarif et un service diminué (voir le scandale Noos) ;

"-" Salariés du privé ou du public on a tous les mêmes problèmes.

Dans le privé on « dégraisse », on délocalise, on remet en cause le CDI.

Dans le public on supprime les postes, on précarise, on remet en cause le statut. La propagande médiatique discrédite les services publics pour préparer l’opinion à la privatisation de tout ce qui est rentable.

Dans le privé comme dans le public, les salaires ne suivent pas la hausse du coût de la vie.

Le contenu complet de la journée figure dans le document joint.